Historique

En 1943, Willy Mahy n’a que 13 ans lorsqu’il commence son apprentissage dans une pâtisserie renommée de Charleroi. Sa formation se complètera durant quelques années en tant qu’ouvrier boulanger-pâtissier.



En 1954, c’est la fin de l’indépendance.



Willy Mahy, reprend une boulangerie à Châtelet, c’était à l’époque une petite boulangerie qui était en même temps une oisellerie. A l'époque, les services de l’hygiène étaient moins regardants qu’aujourd’hui.

La boulangerie en 1952

A 13 ans, Bernard Mahy, le fils, commence lui aussi son apprentissage dans la boulangerie familiale. Le soir, il suit des cours à l’université du travail de Charleroi.


En 1982, après  quarante  années de travail Willy Mahy passe la main à son fils. Willy Mahy et Hélène Sinda ont fait grandir le nom « Mahy » grâce à leur courage. A cette époque, on peut dire que c’était très dur et fatiguant (pas de machine, pas d’aide….).

La boulangerie actuelle à Châtelet

Bernard développe lui aussi la boulangerie et attrape une sérieuse réputation grâce à sa qualité de produits de tous genres : produits de base de boulangerie mais surtout de pâtisserie (bavarois, gâteaux de circonstances, anniversaire, mariage et pièces montées).


En 1979, naissance de Jonathan, le petit fils de Willy et Helene.


Jonathan grandit dans la farine et observe ses parents travailler tous les jours. A l’âge de 10 ans, il  commence à mettre la main à la pâte (massepain, pain…) et par la suite rentre à l’Université du Travail de Charleroi pour y suivre sa scolarité en boulangerie – pâtisserie.

Jonathan et son grand-père Willy

La relève est assurée

En 2004, fin de l’activité de Bernard Mahy, Jonathan décide de racheter l’entreprise familiale avec l’aide de ses grands- parents.


A ce jour, Jonathan Mahy suis les traces de sa famille et développe son activité dans le plus grand respect des traditions anciennes tout en respectant les normes d’hygiène actuelles L’activité compte emploie huit personnes. Elle est gérée par Jonathan et son épouse.



Ils espèrent que la relève sera assurée par leurs deux fils. Ugo et Léo commencent en effet déjà à « chipoter » dans la farine.



Le grand-père Willy, octogénaire, aide chaque jour son petit- fils.